3 avril 2013
Fricrailleries
Mon François, Ta Majesté ! Cette fois, c’est l’étron de trop, le truc monstrueux qui s’en vient boucher mes chiottes. Et qui empuantit mon atmosphère. Vulgaire, me rétorqueras-tu ? Je te le concède, mais mon propos liminaire est tout de même infiniment...