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Comédies
11 octobre 2011

COMEDIE (42)

DSC02020
Station Croix d'Argent.
L'acte de vandalisme fut perpétré le vendredi 7 octobre.
La TAM fit effectuer un rapide rafistolage (voir photo).
Aujourd'hui, mardi 11 octobre (11h), je constate que la tableau demeure à l'identique.
Soit donc quatre jours après que des sauvageons s'en soient pris pour l'antépénultième fois à ce panneau "publicitaire".
En quatre jours (et par quel miracle?) les débris de verre se sont éparpillés sur les deux quais.
Pire: la saleté ambiante est repoussante.
Comme si la TAM se refusait à assurer l'entretien de cet espace.
Comme si elle punissait les usagers des actes répréhensibles commis par des personnages qui sont par ailleurs des victimes de la politique sarkozienne.
La TAM dispose, paraît-il d'un système de vidéo-surveillance performant.
Et pourtant les panneaux publicitaires de la station Croix d'Argent sont régulièrement détruits.
Il existe, paraît-il, un poste de police municipale à quelques centaines de mètres de là.
Depuis le 15 décembre 2010, date à laquelle je me suis installé dans ce quartier, je n'ai jamais croisé ne serait-ce que l'ombre d'un policier.
Alors que les actes de vandalisme se répètent.
Alors qu'une jeunesse collégienne est livrée à elle-même dans les recoins des immeubles du quartier à des heures où elle est soumise, en principe, à des obligations scolaires.
Alors que certain commerce prospère, comme je l'ai constaté le samedi 8 octobre aux alentours de 14h30, toujours à la station Croix d'Argent. Quelques adolescents baguenaudent d'un quai à l'autre. Survient un garçon de leur âge. Bien sur lui. Clean. L'un des adolescents se détache du groupe et se dirige vers le nouvel arrivant. De rapides salutations (?) puis l'échange plus rapide encore: un peu d'argent contre un peu de "chose". Le vendeur s'éloigne aussitôt le long de cette descente qui conduit au poste de police municipale. Fort satisfait de lui-même.
 
 
DSC02030
J'ai chiné.
Le samedi 8 octobre.
Pour un très maigre mais fort heureux résultat ("La Tribu Bécaille", un roman de André Dhôtel, acquis pour la modique somme de deux euros).
J'ai marché, beaucoup marché.
Indéniablement, Montpellier n'est pas à la hauteur de Lille.
Et, à ce titre, il serait bon que notre Hélène confie Marc le Sabordeur à Martine lors de la prochaine édition de la Grande Braderie de là-haut.
Non pas tellement pour qu'il y apprenne l'authentique recette des moules marinières: cet homme-là serait foutu d'empoisonner des milliers de convives.
Mais pour qu'il y apprenne l'art d'organiser et de valoriser un tel évènement.
 
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