Rodrigo Garcia

                            Ces moments-là sont si rares qu’il m’est impérieux d’en retranscrire les émotions qui les ont jalonnés. Trop souvent en effet, ce qu’il advient sur les scènes des théâtres ne me concerne plus. Ou si peu. L’impression (subjective ?) de me confronter au déjà vu, au déjà entendu. Quelques nuances dans l’habillage. Quelques poussières ôtées sur le devant de la scène. Quelques couleurs ravivées. Un racolage des... [Lire la suite]

          (Source GAZETTE MONTPELLIER)   Le lâche soulagement des cultureux aculturés. « Il fout l’camp ! » « De son plein gré ! » Un théâtre trop sulfureux au regard des trop bien pensants, de ces pauvres d’esprit qui n’ont de cesse que d’observer derrière eux le minable cortège de leurs incertitudes. Pour affirmer qu’il n’est d’autre vérité que dans l’amoncellement putride des résidus des splendeurs passées. Rodrigo Garcia ne fut jamais toléré par la... [Lire la suite]

            Cher Rodrigo ! Voilà donc que le Grand Chambellan t’inflige une volée de bois vert. L’ardent et vindicatif défenseur de la francitude n’a pas supporté quelques-unes de tes confidences, celles qu’un quotidien espagnol reproduisit dans ses colonnes. Du style : « Les gens aimaient avoir leur petit théâtre de province, leurs œuvres classiques qui les rassuraient, même s'ils s'endormaient dans leur fauteuil. » Malheureux ! Tu as moqué ces braves gens que le... [Lire la suite]

          Quelle politique culturelle ? Il me paraît urgent de poser la question à Phiphi. Ses plus récentes déclarations m’inquiètent. Elles me donnent la désagréable impression que l’Edile pilote à vue un navire beaucoup trop grand pour lui. N’est-il pas, en effet, maire de Montpellier et président de l’Agglomération ? N’assumera-t-il pas, dans quelques mois, les prérogatives de Grand Manitou de la future Métropole ? Après l’avoir lu dans la presse régionale, après l’avoir écouté... [Lire la suite]

Que font donc les conseillers de Phiphi ?????? Je lis, j’entends que le Fils Prodigue ne cesse plus d’encenser le Vallsouilleur…. Manu par ci, Manu par là… C’est beauté, la fidélité. Cela mérite le respect. Certes. Mais le Manu, tout Vallsouilleur qu’il est, se voit entraîné dans l’infernale spirale initiée par Sire François, monarque dévalué à un point tel que les Sondouilleurs y perdent leur latin (de messe). Le profond des abîmes se rapproche à grande vitesse. A telle vitesse qu’il n’est point hasardeux d’imaginer que... [Lire la suite]