(re)j+11
Oui, je le confirme, je persiste et je signe : je chante pour passer le temps, (petit ?), qu’il me reste de vivre…
Ultimes aragonisations .
… comme on dessine sur le givre, comme on se fait le cœur content…
Le givre ?
Hors de propos !
Du givre en été ?
L’été de la saint Martin, certes, mais tout de même !
La veille du 11 novembre.
Flamboyances solaires.
Sonnez sonnez vieux sacristains
Si le temps n'est plus aux pervenches
Amour n'est pas soif qui s'étanche
À l'été de la Saint–Martin
Sonnez sonnez vieux sacristains
Et que vos cloches se déclenchent
Si tous mes souvenirs s'épanchent
Notre amour tient bon ce qu'il tint
À l'été
À l'été
À l'été de la Saint–Martin
Du Ferrat, c’est vrai.
Une chansonnette de circonstance !
Mémé Lenchon fait acte de candidature !
Sous le soleil de la saint Martin !
Sauveur Suprême !
Mémé Lenchon en appelle au Peuple de gauche.
Parlez-moi d'amour
Redites-moi des choses tendres
Votre beau discours
Mon cœur n'est pas las de l'entendre
Pourvu que toujours
Vous répétiez ces mots suprêmes
Je vous aime
Une midinette, Mémé Lenchon.
Un grand voyageur également.
Et du nord au midi, sa trompette guerrière a sonné l’heure (heure) des combats.
Sauveur Suprême de volaille(s).