Signes

Alors que je m'apprête à fêter le Travail, j'ignore toujours le coût du 8 pages quadricomique dont la conception (??????) et la fabrication (!!!!!!!!) furent confiées au quotidien régional.

Mais je connais enfin le programme des dernières journées de la Feria palavazouilleuze.

Un programme abondament illustré.

Mais dont les textes ont pour auteur ("sauf mention") un seul et même personnage, celui-là même qui rédigea le compte-rendu d'un conseil municipal auquel il n'avait pas assisté (pas plus qu'il n'avait visité ce blog, le mien, avant de servir, aux ordres de qui, hein?, une contrevérité assimilable à de l'intoxication délibérée!).

Il est loisible de formuler de nombreuses hypothèses sur les sources auxquelles s'abreuva ce pisse-copie(s).

Elles conduisent, me semble-t-il, vers le lieu unique de l'élaboration de l'information locale.

Un valet s'évertue à ne pas déplaire à son Maître (si tant est que ce Maître ait jamais été digne d'atteindre à ce grade.....).

Mais peut-être s'y entend-il, ce subordonné, dans le langage des signes?

Si oui, sans doute connaît-il l'identité et les qualités de Celui qui donna l'impression à plusieurs témoins de contenir puis d'orienter les réactions si affectueuses de quelques jeunes gaillards à l'égard de mon ami Luc ALBERNHE, aux derniers instants de cette réunion du conseil municipal qui provoqua tant de tumulte.

Dans l'éventualité contraire, je suis en mesure de lui transmettre des copies des interviews que j'ai emmagasinées au cours des derniers jours. Des hommes et des femmes qui furent intrigués par la gestuelle d'un quelqu'un que (presque) tout Palavas semble connaître.

Bon. Allez! Les taureaux s'ennuient le dimanche et les jours fériés.