Agression

Quelle thèse va défendre le pisse-copie(s) du Midi-Libre?

Lui ou son clone?

Après l'agression perpétrée à l'encontre de Luc ALBERNHE, à l'issue de la réunion du Conseil Municipal, en la bonne ville de Palavas où tout n'est que "calme, luxe et volupté", le mercredi 16 avril?

Le lecteur attend.

Le citoyen affirme que le seuil de l'intolérable a été outrepassé.

Il le sera encore.

Puisque l'objectif est de contraindre au silence.

Sur la base de cette obligation qui serait faite à celles et ceux qui ne sont pas nés ici, entre mer et étangs: "Circulez, il n'y a rien à voir!"

Alors qu'au contraire, il y a beaucoup à voir.

Comme en témoigne le récent jugement évoqué, dans ce blog, en début de semaine.

L'atmosphère est irrespirable.

Elle ne l'est pas du fait, contrairement à ce qu'a laissé accroire le pisse-copie(s), d'une quelconque frustration d'une opposition ressassant sa défaite.

Elle l'est parce que des gens s'évertuent à interdire tout regard critique sur leur gestion des affaires de la cité.

Une presse digne de ce nom se grandirait en effectuant ce minimum de travail d'investigation qui, seul, permet de savoir en delà ou au-deçà de quelle ligne se situe la vérité.

Pour ma part, je persévère. Je veux comprendre. Parce que je suis un homme libre.

Je ne prépare aucune carrière politique.

A bientôt 66 ans, je me confronte à d'autres urgences que celle-là!

Dans le contexte de violence délibérée, celle qui vise à faire peur, je poursuis l'aventure de ce blog.

Dans l'immédiat, toutes mes pensées vont à Luc ALBERNHE que je salue ici et à qui j'exprime toute ma fraternelle affection.