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6 mars 2008

Soutien

Je ne voudrais pas conclure cette session longue de deux mois sans saluer Jean-Louis JACQUET.

J'ai longtemps redouté que le parti socialiste ne délègue à Palavas un de ses brasseurs de vent, un de ses carriéristes, un de ses jeunes loups aux dents très longues mais au souffle très court, parmi tous ceux qui ont oublié d'enregistrer l'avis de décès de la SFIO.

J'ai rencontré un honnête homme.

Ce qui compte le plus à mes yeux.

Je suis un homme de gauche en rupture avec toutes les gauches.

Pour de multiples raisons que les lectrices et lecteurs de mes chroniquouillettes ont appris à connaître.

Pour de multiples raisons que je n'évoquerai pas ici.

Par respect, en tout premier lieu, à l'égard de Jean-Louis JACQUET.

Un homme d'écoute.

Un homme de dialogue.

Un homme, comme on le dit peut-être trop facilement, d'ouverture.

Nos deux ou trois rencontres ont été, je le crois, marquées du sceau d'une mutuelle reconnaissance.

Dans ce qui nous différencie et dans ce qui nous rapproche.

Dans ce qui fait qu'il devient agréable de cheminer côte à côte, sans poser comme préalable la solution des médiocres calculs politiciens.

De nos conversations, mais aussi par le truchement de mes lectures, par la méthodologie que je l'ai vu mettre en oeuvre, j'ai acquis la conviction que Jean-Louis JACQUET offrait enfin l'alternative crédible au népotisme instauré, depuis vingt ans, par Christian Jeanjean.

Je ne reconnais ni ne tolère l'exercice solitaire du pouvoir.

Jean-Louis JACQUET m'apparaît comme celui qui est en mesure d'orchestrer et d'animer le travail d'une équipe.

C'est pourquoi, sans la moindre hésitation, je lui apporte mon suffrage.

André Blanchemanche

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