23 décembre 2015
Déchéance
Je ne suis ni fier ni heureux « d’être » français. Je suis français. Et c’est tout. Mes père et mère forniquèrent un jour de fin d’été, en 1941. (Je me prends tout-à-coup à rêver qu’ils me conçurent sous le couvert d’un grand chêne de la forêt d’Ardenne...