Néototalitarisme

Manchedi 8 août 2021.

Feuilletaison de Libé.

VACCINATION L’EGOÏSME OCCIDENTAL A HAUTE DOSE

La déferlante de bons sentiments.

Les riches Occidentaux ignorent tout du sort si peu enviable des pauvres Africains.

Ce qui est vrai.

Mais ce que ne dit pas Libé, c’est que les riches Occidentaux n’ont d’autre préoccupation que de garantir à Pfizer et consorts de faramineux profits (bientôt redistribués à de très riches actionnaires).

L’ignoble, l’effarante, l’écœurante, l’abominable réalité, c’est bien celle-là.

Sans que s’émeuvent les bonnes âmes, celles qui se contentent d’ânonner les phrases rituelles, celles qui ornementent les discours officiels dont je me demande parfois s’ils n’ont pas été rédigés par les Communiquants qui œuvrent au service de Pfizer et consorts.

La presse franchouillarde se soumet.

La presse franchouillarde écrit ce que les Puissants lui ordonnent d’écrire.

Puisqu’il y va des intérêts de Pfizer et consorts.

Leur vérité est en effet la seule qui vaille.

Elle se transfuse en cascade depuis le sommet de l’Etat jusqu’au plus humble et au plus servile des plumitifs.

Sous la tutelle de Pfizer et consorts jusqu’à la clique des technocrates bruxellois et de leur Cheftaine.

Car enfin, merdre, que disent ces contrats (assortis de leurs clauses secrètes) que nos représentants (puisque dans une démocratie digne de ce nom, ils ne seraient que cela) ont signé sans moufter ?

Que devons-nous ignorer nous qui sommes le (les) Peuple(s) Souverain(s) ?

(J’essaie de me situer dans un cadre prétendument européen…)

Qui commande ?

C’est vrai, les Veaux bousent !

Cela s’étale parmi les fèces de boucs qu’affichent des cohortes de crétins sentencieux.

Ca se nimbe d’une servilité, d’une médiocrité d’esprit qui me fait redouter que certains vieux démons aient survécu à la mort de leurs concepteurs.

Une société humaine se défigure et s’enlaidit dès l’instant où ce qui prétend être une majorité affirme qu’elle détient l’irrévocable vérité et prétend étouffer jusqu’aux plus discrètes des contestations.

Il y a là comme une renaissance d’un stalinisme dont les pratiquants s’efforcent de dissimuler les tares.

L’émergence d’un néo-totalitarisme, qui s’érige avec le consentement de cette majorité qui ne se trouve de cohérence que dans sa haine de celles et de ceux qui doutent.

L’effritement des libertés, dont la liberté de penser sans Dieu ni Maître, sans César ni Tribun.

La société néo-totalitaire, dont les Singes Savants formatés dans les centres de dressage instaurés par Médéfieux et Banquouilleurs sont les serviteurs dociles.

Donc le silence.

Et le travestissement.

Comme la semaine dernière, lorsqu’au terme de la manifestation des anti un peu tout, les nobles voix officielles (y compris celles des Solférinistes) s’empressèrent de camoufler la puissance de l’opposition à ce qu’il advient de pire derrière la médiocre et la pitoyable affaire de l’apothicaire montpelliérain bastonné par quelques irresponsables dont les convictions sont la négation du combat auquel ils feignent de s’associer.

Il n’y a rien de pire et donc de mortifère pour les libertés publiques que le silence.

Le silence imposé par les Puissants.

Voilà quelques jours de cela, j’évoquais ce que j’avais lu dans la Bayletterie, à savoir le décès dans un EHPAD sis à Palavas-les-Flots de trois personnes.

Deux vieillards complètement vaccinés , le troisième ne l’étant qu’à moitié.

Il eut été légitime que la Puissance publique s’exprime sur cette étrange affaire qui intervenait comme un contre-point du discours officiel.

Eh bien, non.

Les trois vieillards sont morts et sans aucun doute enterrés.

La page est tournée, le livre se referme sans que le Lecteur ait à connaître les tenants et les aboutissants d’une telle affaire.

(Sait-on jamais ? Et s’il y avait d’autres morts, des vaccinés eux aussi, dans ces charmants EHPAD que l’on fréquente juste avant de passer de vie à trépas ????)

Un Singe Savant, un quelconque Beria nouvelle tendance, en a sans doute décidé ainsi.

En pendant ce temps-là, le Monarque moque celles et ceux, les sottes et les sots, qui ont l’impudence d’user du mot « dictature ».