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19 janvier 2018

Du neuf avec du vieux?

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Bof….

Rien de bien nouveau sous le ciel de la Médiatouillerie.

Malgré l’apparition, voilà quelques jours, de deux nouveaux « organes » d’informations.

Le premier.

Celui qui, a priori, était susceptible de répondre à une partie de mes attentes.

LE MEDIA.

Décevant.

Du moins au terme de l’observation des trois premiers « journaux », tous diffusés sur le Net.

Un machin « télévisuel », mais qui n’est pas vraiment « télévisuel ».

Avec, en premier plan, ce que Raoul Sangla appelait « l’icône électroménagère ».

Soit donc la « lectrice » du journal.

Encadrée à l’écran par un commentateur/analyste, politotologue peut-être ?, et un éventuel invité.

De la radio télévisée.

Dans une présentation similaire à celle des grands-messes de 20 heures mises en scène de même manière par le service public et par le marchand de béton.

Je m’interroge.

Pourquoi un tel déploiement de moyens techniques alors que pour un résultat identique, il eut suffit de la radio ou même de l’écrit ?

Pour la ressemblance ?

Qu’une autre approche de la hiérarchisation de l’information ne suffit pas à faire oublier ?

Malgré la présence, en arrière-plan, d’un quatuor « d’observateurs » ?

En dépit d’une technologie identifiable ?

Je souhaite me tromper, mais au jour d’aujourd’hui, je doute que l’expérience fasse long feu.

LE MEDIA n‘invente rien de bien nouveau.

Ses promoteurs ont eu recours à de vieilles recettes qui s’inscrivent dans la logique du système dominant.

La pauvreté du contenu ne fera pas de moi un « auditeur » fidèle.

 

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EBDO.

Gentillet.

Propret.

Inodore et quasiment sans saveur.

Ce que je déduis au terme de la lecture des deux premières éditions.

Oui, EBDO se vend (et donc s’achète) puis se lit.

Macroniquement compatible.

Dans l’air du temps.

De la dénonciation soft suscitant une indignation soft.

Une once d’émotion.

De l’utile qui sait ne pas être désagréable.

Un habillage sans trop de fioritures.

Mais une bien réelle frustration lorsque l’on atteint au terme de la lecture.

Oui.

Rien de bien nouveau sous le ciel de la Médiatouillerie.

Juste deux titres.

Qui me font penser que le Monde Diplomatique n’a pas si mal vieilli que cela en dépit de ce que furent ses tapageuses errances latino-américaines d’autrefois.

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