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17 novembre 2016

Servitude

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Ah ! La presse dite libre…

Libre de courber l’échine….

Les petites mains qui ont toujours le culot de prétendre qu’elles exercent un métier qui connut, il y fort longtemps, ses lettres de noblesse, le journalisme.

Une soumission de tous les instants aux exigences de leurs Maîtres, Acteurs de la Finance, Industriels véreux, et autres avatars du capitalisme mortifère.

Des larbins, des valets, des torche-culs qui, toute honte bue, libellent à l’intention de lecteurs qui heureusement pour eux ne les lisent pas, qui ne font, ces je-m’en-foutistes, que parcourir les articles, lesquels ne dérogent pas à la pensée dominante, celle qui ne varie guère en dépit des postures des uns et des autres.

Le comble de l’abaissement.

Tenez.

Ce matin.

L’édition du jour de la Bayletterie.

Son titre de une : « Macron, l’audace d’un candidat à l’Elysée ».

Ca vous sent son Jean-Michel à plein nez.

La vieille baderne radicale encourage le Poulain des Banquouilleurs, ce nouvel étron glaireux lancé sur le marché de la politique afin de faire croire à la nouveauté, à l’innovation, à la modernité.

Alors que derrière le sourire un peu niais transparaît une exceptionnelle capacité à faire prendre les vessies pour des lanternes.

Ce Scapin dont la fourberie plaît tant aux Maîtres de la Finance qu’ils l’ont promu général en chef des légions chargées de confiner l’avenir dans les marmites de l’archaïsme.

Les plumitifs de la Bayletterie ont recopié, mot pour mot, l’impérative consigne expédiée depuis son ministère parisien par ce Cassoulettiste faisandé.

Je n’en suis pas surpris.

Plutôt amusé.

Cette presse crève en raison de son conformisme, de sa veulerie, de sa lâcheté.

Ou plus exactement, les journalistes crèvent à force d’abaissement, de renoncement, de servitude.

 

 

Aude ?

Aude Lancelin ?

Je viens de lire « Le monde libre ».

J’ai plutôt bien aimé.

Mais je vous en supplie, soyez prudente.

Une main amie m’a transmis un message afin de m’informer de votre prochain séjour à Montpellier.

Un séjour sous les auspices de la Gazette.

Journal servile, parmi tant de journaux serviles.

Empressé ce journal de complaire au nouveau Vizir, après avoir tant et tant encensé le précédent.

Puisqu’il faut bien assurer la parution d’un hebdomadaire et donc de bénéficier des faveurs que lui concède le Grand Métropolitain.

Ne vous laissez pas mener en bateau par le Pierrot Gazouillant.

La récupération est une opération coutumière à tant de ces gens qui cherchent à obtenir des brevets d’honorabilité.

Histoire que vous ne vous assoupissiez pas, lors de votre conférence, je m’essaierai peut-être à vous titiller.

 

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