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10 mai 2016

Privilèges

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Incontestable, si j’en crois les témoignages : le Verdouilleux inféodé au clan des Batavouilleux se révèle être une immonde ordure.

Mais la curée me révulse tout autant.

La curée médiatique.

Combien sont-ils parmi tous ceux de ses pairs qui crachent aujourd’hui à la gueule de cet infâme Carriériste qui ne furent guère différents de lui ?

Combien sont-ils à fréquenter les contre-allées du Pouvoir et à abuser sans vergogne de toutes leurs prétendues prérogatives dont celle de réduire les femmes de leur proche environnement aux seules et triviales fonctions organiques ?

Les mâles imbus de leur puissance, soulagés de n’être pas celui qui est désigné aujourd’hui à la vindicte publique, qui donc assumera seul leurs communes turpitudes ?

Une caste.

Qui n’a d’autre ambition que de préserver ses privilèges.

Des privilèges qu’innocemment ou non celles et ceux qui s’agitent et proposent au Peuple de se fédérer derrière des messies de pacotille, des privilèges dont l’abolition relèverait de l’illusion pour peu que l’on acceptât d’entrer dans leur jeu.

J’ai reçu de fraternelles missives m’implorant de me défaire de ma « posture ».

De gentils correspondants me précisent qu’il n’est pas d’autre recours « pour qui veut défendre la démocratie de participer aux joutes démocratiques ».

Donc de participer à la désignation du Monarque à contrat à durée déterminée.

Ce qui, à mes yeux, relève du dérisoire autant que de l’inconséquent.

Le dérisoire, tant il est avéré que Farfadet n’est qu’un Monarque de pacotille, l’exécutant servile des volontés des Médéfieux.

L’inconséquent, puisque participer à la joute, ne fut-ce que de manière symbolique, revient à accorder un nouveau sursis au système.

Un système fissuré, lézardé de toutes parts et dont l’écroulement, de toute évidence, générera le pire.

Je persiste et je signe : il n’est pas d’autre alternative que celle qui consiste à sortir du jeu.

Délégitimer dans un même mouvement le système et celui (ou celle) qui s’en réclamera.

Fracturer.

Libérer le Peuple de sa sujétion à la Monarchie.

En finir avec les privilèges.

Au mitan du jour, ce qui sera toujours mieux qu’au cœur des ténèbres.

Même si j’éprouve de l’affection à l’égard de celles et ceux qui débattent sur les places publiques.

Debout la Nuit.

Nous extraire de la nasse de la pensée unique, du consensus, du plus minuscule dénominateur commun.

Beaucoup de pain sur la planche ?

C’est ce qui devrait donner du cœur à l’ouvrage aux femmes et aux hommes de bonne volonté !

Le temps de l’indignation est forclos.

La preuve : le Farfadet et son Grand Chambellan clament leur mépris à l’encontre des représentants du Peuple.

S’en vient le temps des révoltes, seules susceptibles d’inverser les rapports de force.

 

A Voce Rivolta !

 

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Un témoignage....

Celui du camarade Hugo....

"Vous ne compreniez point, mère, la politique.
Monsieur Napoléon, c'est son nom authentique,
Est pauvre, et même prince ; il aime les palais ;
Il lui convient d'avoir des chevaux, des valets,
De l'argent pour son jeu, sa table, son alcôve,
Ses chasses ; par la même occasion, il sauve
La famille, l'église et la société ;
Il veut avoir Saint-Cloud, plein de roses l'été,
Où viendront l'adorer les préfets et les maires,
C'est pour cela qu'il faut que les vieilles grand-mères,
De leurs pauvres doigts gris que fait trembler le temps,
Cousent dans le linceul des enfants de sept ans.

Jersey, 2 décembre 1852"

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