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Comédies
25 avril 2014

COMEDIE (162)

Phiphi s’active….

A la ville comme à l’Agglo…

Ses équipes se mettent en place…

Les moustaches de François reprennent du service.

Provisoirement, mais tout de même.

La bande de quasi néophytes a besoin de l’apport de quelques vieillards dotés du savoir-faire et de l’expérience.

Car l’aventure est périlleuse.

Et Max ne peut être à la fois au four et au moulin.

D’autant que lorsqu’il passe au moulin, il lui advient d’émettre des sentences que j’estime quelque peu dérangeantes.

Du moins si j’en crois les ragots colportés par l’un ou l’autre des torche-cul gratuits.

Selon Max, la ZAT coûterait trop cher.

Relation de cause à effet ?

Phiphi fut absent de l’incandescente nuit de Malbosc.

Certes, lui aussi ne peut être à la fois au four et au moulin.

Mais voilà une curieuse façon de débuter un règne.

D’autant plus que Phiphi exprima lorsqu’il fut désigné par Hélène adjoint à la culture son intention d’en finir avec la ZAT qui, à ses yeux, coûtait déjà trop cher.

Max ?

Phiphi ?

Que coûtent aux contribuables les infantiles gesticulations d’adolescents à peine pubères sur la pelouse du stade de la Mosson ?

Un coût qui ne prend pas en compte ce que nous refilons, nous, contribuables, via la taxe sur les ordures ménagères, à Loulou, le philanthrope.

(Juste pour vous indiquer que nous payons deux fois le spectacle navrant de ces gesticulations infantiles….)

Que coûtent aux contribuables les surpuissantes mêlées qui empilent une trentaine de mâles exceptionnellement virils sur la pelouse du stade Yves du Manoir ?

Que coûtent aux contribuables les fredaines de sales gosses même pas manchots qui sont soupçonnés d’avoir généreusement parié sur la défaite de leur équipe ?

Max, Phiphi, ici, à Montpellier, des tas de choses nous coûtent très très cher, à nous, contribuables.

Mais que dit-on de son chien lorsque l’on veut s’en débarrasser ?

Hein ?

Sinon ?

J’ai apprécié à sa juste valeur le coup de maître réussi par Phiphi à l’Agglo lors de l’installation des adjoints.

La désignation d’un authentique révolutionnaire, d’un irréprochable révolutionnaire, à la tête du service de l’eau.

Celui-là même qui dans un avenir point trop lointain signifiera à Veolia que l’assez véroleuse société capitaliste n’a plus qu’à prendre ses cliques et ses claques.

Je frémis d’impatience.

Un coup génial !

Que je m’en irai peut-être fêter à Venise puisque Phiphi a le projet de nous jumeler avec la cité des Doges.

Ce que je verrais plutôt d’un bon œil.

Même si cela doit me coûter bonbon.

Bravo à toi, Phiphi !

Non pour l’éventuelle concrétisation de ce jumelage, mais pour ce geste d’une rare élégance : conférer le tire de maire honoraire à Hélène.

Non, Phiphi, là je ne te raille pas.

J’applaudis.
Hélène mérite cette reconnaissance.

Ton geste atténue quelque peu les ignominies que lui firent subir non seulement l’Imperator mais aussi la clique des mercenaires dont je n’ai toujours pas compris pourquoi les quelques gens scrupuleux de ton ancien parti ne se sont toujours pas débarrassés.

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