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Comédies
5 mars 2014

COMEDIE (145)

Le Parti qui se dit socialiste sondouille, via des professionnels de la chose, les électrices et les électeurs.

A Montpellier, les résultats de la sondouillaison font de l’Illimitable un probable vainqueur par défaut.

Tout en accréditant l’idée que cette victoire supposera que celles et ceux qui, au premier tour, apporteront leurs suffrages à Phiphi et à la représentante de la Gauche Plus que Parfaite, que ces électrices et ces électeurs daignent les reporter sur Celui dont il est déjà perceptible qu’il ne sera qu’une parenthèse.

Un constat qui désagrémente quelques-uns des piliers de la coalition hétéroclite censée poursuivre l’œuvre certes géniale mais cependant inaboutie initiée par l’Imperator.

Dont deux députés qui fort virilement matraquent ce malheureux Phiphi dont les potentialités électorales font de l’ombre à l’Illimitable.

Deux députés mâles.

Qui reprochent à Phiphi d’étranges et sulfureuses accointances droitières.

Ce qui revient à enfoncer des portes ouvertes : Phiphi n’a en effet jamais rien dissimulé de ses élans quasiment amoureux à l’égard du Valssouilleur Emérite, Ministre des Argousins, situé à l’extrême-droite du centre mou du parti socialiste.

Mais tout de même !

Quelle curieuse manière de mettre en exergue la paille qui dénature l’œil du voisin (et ancien camarade) sans prendre conscience de l’existence de la poutre qui défigure l’œil de son propre Homme Lige.

Faut-il leur rappeler aux deux mâles députés prétendument socialistes que dans le comité qui soutient l’Illimitable figurent de vrais hommes de droite ?

Dont l’ineffable Loulou.

Mais aussi quelques autres parmi ceux qui pataugent dans l’affairisme.

Faut-il mettre l’accent sur la poursuite de la collaboration avec les Modémistes inféodés au Béarniais ?

Hein ?

Et puis, si le parti de l’Illimitable était encore un tant soit peu socialiste, ça se saurait, non ?

 

 

 

 

 

Je n’ai rien lu, je n’ai rien entendu, durant cette campagne il est vrai particulièrement insipide, sur l’aboutissement des travaux du Musée censé relater un peu plus d’un siècle de présence française en Algérie.

Lorsque j’emprunte la rue de la République, je passe devant une bâtisse qui me donne l’impression d’être laissée à l’abandon.

Je ne m’en plains pas.

J’ai même tendance à m’en réjouir.

Les professions de foi qui furent publiées au moment du lancement du projet me laissèrent alors redouter le pire.

Quelque chose comme l’exaltation du colonialisme franchouillard, lequel colonialisme reste à mes yeux comme une des pages les plus noires du pays où je ne suis né que par hasard.

Reste tout de même cette superbe bâtisse et le magnifique parc qui l’entoure.

L’une et l’autre fermés au public.

Alors que des travaux conséquents semblent avoir été effectués.

Des travaux financés par de l’argent public.

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